CIAS : Comité Interministériel d’Action Sociale

- Circulaire du 14 février - attribution chèque vacances nouveau barème.

Dans ce contexte politique, économique et social, les agents publics sont concernés au premier chef et subissent de plein fouet la rigueur budgétaire : diminution des effectifs, gel des salaires, allongement de la durée d’activité...

Le champ de l’action sociale interministérielle n’échappe pas à cette austérité :

-  138 millions pour l’ensemble des fonctionnaires de l’État sont dérisoires pour mener une politique d’action sociale digne de ce nom. Derrière ce chiffre, ce sont les agents et leurs familles qui sont directement touchés au quotidien.

Pour l’UNSA-Fonction publique, il est nécessaire d’impulser une nouvelle dynamique afin de soutenir les fonctionnaires. Cette politique doit se traduire par des actions équitables et des moyens humains et budgétaires appropriés.

L’UNSA-Fonction publique revendique et propose :

- L’harmonisation vers le haut de l’ensemble des prestations communes versées aux agents de l’État dans les DDI, comme s’y était engagée la DGAFP.

- La mise en place d’un titre restaurant pour les agents qui ne peuvent bénéficier d’aucune restauration sociale collective.

- La garantie du caractère universel du CESU-Garde d’enfant avec une revalorisation des barèmes.

- La création d’une prestation en faveur des enfants de fonctionnaires dans le cadre de leurs études.

- En lieu et place de l’AMD, l’instauration d’un CESU à destination des retraités.

L’UNSA-Fonction publique n’entend pas entrer dans une logique de gestion de pénurie budgétaire ; l’action sociale ne doit plus être une variable d’ajustement !

L’UNSA-Fonction publique exige une remise à niveau conséquente des crédits destinés à l’action sociale.


P.-S.

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