Manifestations du 5 février !

PARTOUT EN FRANCE !

MARSEILLE : Rendez-vous sur le Vieux Port à 15h.

NANTES : Rendez-vous Place du Commerce à 14h30.

PARIS : Rendez-vous Place de la Répubique à 14h.

SAINT-NAZAIRE : Rendez-vous Place de la Gare à 14h30.

3 BONNES RAISONS D’AGIR AVEC L’UNSA !

 POUR LES 35 HEURES :

• Alors que 40% des salariés ne sont toujours pas aux 35 heures, le parlement vote une loi de démantèlement des 35 heures, conformément aux revendications du patronat : "Avec la réforme des 35 heures qui se met en place, nous obtenons ce que nous avions demandé" a déclaré le Baron E.A.Seillière, Président du MEDEF !

• • • Cela signifie, une fois de plus et pour des années, le maintien de l’inégalité de traitement entre les salariés des petites entreprises et les autres.

• • TRAVAILLER PLUS POUR GAGNER PLUS... Cela voudra dire, ne pas prendre ses heures et ses jours de RTT, et être payé sans majoration pour les heures supplémentaires.

• • LE LIBRE CHOIX DU TEMPS DE TRAVAIL Cela voudra dire, à la disposition de l’employeur, de régler les durées de travail au cas par cas, où le salarié sera en situation d’infériorité devant son employeur.

 POUR LES SALAIRES :

• Dans le public, comme dans le privé, les salaires stagnent. Les salariés ont largement payé les 35 heures par la modération salariale et les gains de productivité. Il faut maintenant augmenter les salaires.
  Les dirigeants des grandes entreprises et les actionnaires se sont largement servis ces dernières années !
  Les salariés - et les retraités - doivent recevoir leur juste part.

 POUR L’EMPLOI :

• Le gouvernement laisse faire, attendant que la croissance économique revienne toute seule ! Il n’encourage pas la consommation qui soutient l’emploi.
  • Il ne défend ni les services publics, ni les investissements d’avenir comme la recherche ou l’éducation !
  • Les entreprises se sont enrichies pour elles-mêmes et leurs actionnaires !!!

• Les grandes négociations nécessaires sur les licenciements économiques, l’emploi des plus âgés, la pénébilité du travail sont sabotées par le MEDEF.